Agir pour le climat

Agir maintenant

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Doit-on encore rappeler à quel point il est urgent d’agir contre le réchauffement climatique ?

Pour les entreprises, agir maintenant est une nécessité face à l’urgence climatique, pour retirer massivement du CO2 de l’atmosphère. Au-delà de leurs obligations réglementaires, cela fait partie de leur responsabilité sociétale.

C’est pourquoi réduire ses émissions, c’est bien ; contribuer à séquestrer du carbone, c’est mieux.

Agir maintenant, c’est aussi préserver ses avantages concurrentiels dans un environnement de plus en plus attentif, notamment de la part des consommateurs, aux actions des entreprises en faveur du climat.

L’appréciation de l’impact carbone et, plus largement, environnemental et social s’impose également dans la sélection des fournisseurs, afin d’évaluer les émissions indirectes de la chaîne d’approvisionnement (Scope 3).

Agir maintenant, c’est encore anticiper les prochaines contraintes réglementaires en termes de reporting extra-financier : dès 2025, la directive européenne CSRD élargira le périmètre des entreprises concernées par cette obligation de reporting.

Agir sincèrement

Une entreprise qui agit sincèrement pour le climat est une entreprise qui met en place des actions traçables et transparentes, dont l’impact est réel et mesurable.

À défaut, c’est s’exposer à être taxé de greenwashing et perdre sa crédibilité ; c’est prendre le risque de voir ses clients se détourner et son image de marque se dégrader.

Au-delà de la réduction de leurs émissions, investir dans des crédits carbone est la voie privilégiée pour les entreprises engagées pour le climat. Encore faut-il que ces crédits offrent l’assurance d’une contribution réelle au stockage de carbone, mesurable et vérifiable.

Car on le sait, tous les crédits carbone ne se valent pas.

L’intégrité des crédits dans lesquels une entreprise investit est donc le critère majeur, avant leur prix. Agir sincèrement pour le climat est profitable, non seulement pour la planète, mais aussi pour l’entreprise elle-même, parce que la réalité de son engagement constitue un levier d’attractivité pour les clients et talents.

Les solutions pour agir

Les crédits issus de moyens naturels

Il existe de nombreuses initiatives destinées à capturer du carbone, des plus modestes aux technologies les plus folles et les plus coûteuses.

Parmi elles, les solutions naturelles (« nature based solutions ») sont les plus convaincantes, parce qu’au-delà de séquestrer le carbone de l’atmosphère, elles répondent à d’autres enjeux cruciaux comme préserver la biodiversité et les ressources en eau.

C’est pourquoi les crédits carbone issus de la forêt et de l’agriculture s’imposent comme les solutions les plus intéressantes dans la lutte contre le changement climatique.

L’agriculture représente 40% des terres de la planète et, dès l’instant où elle est régénératrice de l’écosystème, elle est le levier le plus puissant pour renverser le changement climatique, en prenant soin de la richesse des sols, ménageant la biodiversité, laissant couvertes les terres et relançant le vertueux cycle de l’eau.

L’agriculture régénératrice permet d’agir rapidement contre le réchauffement climatique : en moins de 10 ans, une exploitation agricole peut séquestrer plus de CO2 qu’elle n’en émet, là où un arbre mettra des décennies pour arriver à maturité.

Elle est aussi une agriculture durable et rentable, qui valorise les agriculteurs, et une agriculture qui produit des aliments sains : la santé des sols assure la santé des hommes.

Construire une agriculture régénératrice à l’échelle locale et robuste face aux enjeux climatiques, c’est enfin reconstruire une souveraineté alimentaire. Mais les bénéfices de l’agriculture régénératrice ne se limitent pas à la capture de carbone : cette agriculture enrichit la biodiversité, améliore le cycle de l’eau, construit des exploitations agricoles plus soutenables et plus résilientes, et produit des aliments sains.

C’est pourquoi, de manière à apporter la plus haute valeur à tous ceux qui s’investissent pour le climat et à attester de la globalité de l’impact de cette agriculture, les certificats de régénération sont une évaluation de tous les bénéfices de l’agriculture régénératrice.

Les crédits les plus fiables

Parce que sa crédibilité est en jeu, l’intérêt d’une entreprise engagée pour le climat est d’investir dans les crédits les plus fiables possibles. Chaque tonne carbone qu’elle contribue à séquestrer doit être incontestable.

Sur le marché du carbone volontaire, qui rassemble les différents crédits carbone issus de l’agriculture, la plupart des méthodologies repose sur des modélisations.

Ces méthodologies, comme le Label Bas Carbone, consistent en une approximation du carbone capturé, au travers de calculs et de modèles. Elles demeurent générales et appréhendent difficilement la réalité agronomique des exploitations, souvent complexe.

D’autres méthodologies, plus rares, se fondent sur des mesures concrètes de l’évolution du taux de matière organique dans les sols. Ces méthodologies, dites MRV (pour « Measurement, Reporting, Verification »), aboutissent évidemment à des résultats beaucoup plus pertinents et sont au plus près de la réalité du carbone séquestré.

A la recherche de la plus haute pertinence, ReGeneration a construit, avec des scientifiques et des partenaires reconnus, des méthodologies robustes reposant sur des mesures physiques au sein des exploitations agricoles partenaires, au cœur de nos territoires, de manière à mesurer le stock réel de carbone dans les sols.

Enfin, contrairement à nombre de méthodologies qui mélangent les réductions d’émissions au stockage de carbone, ReGeneration, tout en mesurant les réductions (Scope 3), distingue les réductions d’émissions de la séquestration de carbone, conformément aux directives FLAG du GHG Protocol et du SBTi, et n’émet de crédits qu’au titre de la séquestration de carbone : les crédits d’éco-contribution.

Il n’y a pas que le carbone dans la vie

Pour une entreprise engagée, agir sincèrement pour le climat, c’est avoir un impact global, au-delà du carbone.

Car agir pour la planète, c’est aussi agir pour préserver la biodiversité, les ressources en eau, reconstruire une agriculture durable et une souveraineté alimentaire.

C’est aussi une nécessité pour les entreprises d’anticiper sur l’évolution de la comptabilité environnementale, puisque dès 2025, la directive européenne CSRD élargira l’obligation de reporting RSE à l’impact sur la biodiversité et l’eau.

C’est pourquoi, de manière à apporter la plus haute valeur à tous ceux qui s’investissent pour le climat et à attester de la globalité de l’impact de l’agriculture régénératrice, ReGeneration mesure et certifie tous les bénéfices de l’agriculture régénératrice au moyen de crédits d’éco-contribution.

Ces crédits d’éco-contribution, les plus robustes et les plus complets du marché, sont issus d’exploitations agricoles de nos territoires, engagées pour 10 ans et accompagnées dans leurs pratiques régénératrices par des experts agronomes, afin d’assurer un impact réel et durable.